mardi 22 décembre 2009

REUNION 16 JANVIER


PROCHAINE RENCONTRE


LE SAMEDI 16 JANVIER à 17h30


Visite de l'exposition à partir de 17h30

Début de la réunion à 18h30 précises : échange autour de nouvelles informations et propositions (durée 1h / 1h30)

3 rue Pierre l'Ermite - Paris 18e

Métro Barbès (ligne 4) ou La Chapelle (ligne 2)

Plan du quartier : cliquer ici



samedi 19 décembre 2009

Première réunion des Amis d'Hellé










L'exposition et la communication de Corinne Taunay

sont présentés dans les messages qui suivent celui-ci



RENCONTRE



Entre neige et grèves des transports, il fallait du courage pour se déplacer ce jeudi soir... Beaucoup n'ont pu participer à la réunion*, qui a néanmoins été riche et stimulante.


L'assistance se répartissait de manière équilibrée entre amateurs et collectionneurs, libraires, chercheurs, bibliothécaires et responsables d'institutions culturelles.


On remarquait en particulier la présence active de certaines des premières personnes à s'être intéressées de près à Hellé, comme Annie Renonciat (directeur du pôle scientifique du Musée national de l'éducation, organisatrice de l'exposition Livres d'enfants, livres d'images au musée d'Orsay), et Jean-Charles Rousseau (collectionneur et graphiste, président de Mémoires d'images).





Béatrice Michielsen a présenté des éléments nouveaux sur la biographie de Hellé, qui montrent en particulier que les Souvenirs d'un petit garçon ne sont pas une fiction, mais une véritable autobiographie, dont chaque information peut être vérifiée.


Michèle Cochet (médiathèque d'Orly) a raconté comment elle a mené une véritable enquête pour retrouver la petite maison de vacances d'Hellé sur l'île d'Oléron, où elle a découvert un portrait de Pierrot inédit, petite pochade peinte sur carton.


Corinne Taunay, doctorante en arts plastiques, nous a apporté un "scoop" : avant de devenir Hellé, le jeune André Laclôtre, sur lequel on ne sait rien jusqu'à présent, a été membre des Incohérents (voir sa communication ci-dessous).



Denis Herlin, musicologue, qui a travaillé sur les rapports entre Hellé et Debussy, a révélé qu'il a localisé les maquettes originales des décors du Petit elfe ferme l'oeil.


Corinne Gibello, chargée du livre pour enfants à la Bibliothèque nationale de France (La Joie par les livres), a indiqué qu'elle a d'ores et déjà lancé des recherches dans les fonds de la BnF, en particulier ceux des Arts du spectacle, pour essayer de découvrir des documents non répertoriés à ce jour.


Hélène Meyer-Roudet, conservateur du Musée du jouet de Poissy, et son assistante Marion Abbadie, ont annoncé que le musée envisage de consacrer une exposition aux jouets d'Hellé, accompagnée de la publication d'un catalogue scientifique.


Christian Bruel (éditeur, créateur du Sourire qui mord) nous a confié la raison de sa présence : son livre fétiche quand il était enfant n'était autre que le Clindindin illustré par Hellé…


Autre surprise émouvante : M. Claude Duvignau, arrière petit neveu de Pierre Loti, confirme que l'écrivain a été enterré avec la poupée de chiffon mise en scène dans Mademoiselle Anna, très humble poupée, texte illustré par Hellé.



L'un des enseignements de cette rencontre a été la variété des chemins qui amènent des personnes d'horizons très divers à s'intéresser à un même artiste, ce qui nous conforte dans le projet d'éclairer à la fois l'œuvre dans sa totalité et dans ses différentes facettes. D'autre part, il est manifeste qu'il reste des quantités de pistes à explorer.


Le simple fait de mettre en commun nos informations a considérablement fait progresser les connaissances en quelques mois. Nous essaierons de mettre en ligne sur ce blog les découvertes et contributions des membres de l'association au fur et à mesure. Dès maintenant se profilent, derrière celui qui n'était qu'un nom fameux, une vie, une personnalité, et une œuvre multiforme.


* Parmi les messages reçus, ceux de Monica Buckhardt, Barbara Spadaccini, Léone Berchadsky, Jacques Vidal-Naquet, Carine Picaud, Bernard Toulier, Michel Defourny, Viviane Ezratty, Maïté Alazard, Christine Morault, Nathalie Erny, Pascal Pontremoli, Michel Tolmer, Jacques Egret, Françoise Probst, Michèle Noret, M. et Mme Huret, Frédéric Castaing, Hedwige Pasquet, Etienne Delessert…





PROJETS



Jean-Hugues Malineau a présenté les objectifs et projets de l'association :


L'objectif est de rassembler de manière pragmatique l'ensemble des personnes et institutions s'intéressant à Hellé, afin de mieux faire connaître son oeuvre . Le but principal est de profiter du centenaire de l'Arche de Noé, en 2011, pour organiser, dans la mesure du possible, une série d'événements :


- exposition générale et expositions spécialisées en parallèle (jouets, musique…)

- exposition itinérante

- animations (musique, ateliers…)

- publication d'une monographie, ouvrage collectif qui serait à la fois un "beau livre" illustré et un outil de travail (bibliographie)

- rééditions d'albums, voire diffusion d'une "ligne Hellé" (réédition des papiers à lettres, etc.)



FONCTIONNEMENT DE L'ASSOCIATION



Le bureau est composé de Jacques Desse, président, Jean-Hugues-Malineau, vice-président, Béatrice Michielsen, secrétaire générale, Pascale Célereau, trésorière.


Les statuts peuvent vous être adressés sur simple demande à amisdhelle@orange.fr


Le montant de l'adhésion est de 10 € par an, ou plus pour ceux qui le souhaitent. Chèque à l'ordre des Amis d'Hellé (3 rue Pierre l'Ermite 75018 Paris).







APPEL A CONTRIBUTIONS





APPEL A CONTRIBUTIONS


L'idée est de fonctionner en réseau, comme une sorte de coopérative, afin de mener collectivement le travail d'enquête et de recherche.

Chacun d'entre vous peut apporter sa pierre à l'édifice, selon ses compétences, fonctions ou possibilités.


Quelques chantiers possibles :


- Bibliographie :

Nous disposons d'une liste complète des livres illustrés par Hellé connus à ce jour, (cliquer ici) enrichie de nombreuses informations. Il reste à la mettre en forme, et à décrire systématiquement les ouvrages (aisément consultables dans nos collections).

- Périodiques :

Hellé a publié des centaines (milliers ?) de dessins dans les magazines de l'époque (cliquer ici). Certaines de ces collections sont à dépouiller (comme le Sourire, le Rire, etc.). Plusieurs personnes passant chacune quelques heures en bibliothèque pourraient apporter beaucoup à la connaissance d'Hellé.


- Arts décoratifs :

Le domaine le moins connu de l'activité d'Hellé, mais non le moindre, est celui de la création de mobilier. Il reste à explorer des fonds d'archives (Forney, UCAD…), enquéter auprès des spécialistes de l'Art déco, et éventuellement découvrir des exemplaires subsistant de ces meubles et objets…


- Archives :

Nous avons obtenu l'accréditation pour explorer les archives du principal éditeur d'Hellé. D'autres pistes sont à suivre (Larousse, organes de presse, Salon d'automne, Opéra Comique, Archives nationales…).


- Les amitiés et le réseau d'Hellé :

Des appels sont lancés auprès des membres de la Société des amis de Pierre Loti et de la Société Le Vieux Papier. La proximité d'Hellé avec d'autres écrivains ou artistes (Tristan Derème, Georges Auriol, Georges Delaw, Carlègle, Henri Avelot, Francis Jourdain, Gaston Derys, Emile Miguet, Jules Berny, les milieux artistes de Montmartre…) pourrait déboucher sur des informations très intéressantes. Les liens possibles d'Hellé avec certains musiciens (Ravel, Honegger, Bachelet, Chéreau…), comme avec des écrivains d'avant-garde (Edouard Dujardin, Jacques Vaché, Robert Desnos...), restent à explorer.


- Edition :

Nous sommes en contact avec plusieurs éditeurs, pour différents projets (dont la publication d'inédits). Mais cela n'est qu'à l'état d'ébauche. On pourrait par exemple rééditer Les Souvenirs d'un petit garçon (suggestion de Béatrice Mey), mais aussi des albums de coloriage, cartes postales, etc.



Toute proposition est bienvenue, ainsi que toute aide ponctuelle ou technique (photographies, gestion du blog, traduction en anglais du compte-rendu de la réunion pour nos contacts étrangers, etc.).


Qui pourrait, par exemple :

- contacter des institutions étrangères (par exemple la Carlton Lake Collection, à Austin Texas, qui possède de nombreuses aquarelles)

- faire des recherches du côté de la Légion d'honneur (qu'Hellé a reçue en 1926, au titre des Arts décoratifs),

- ou sur la localisation de sa tombe (suggestion de Marie-Christine d'Hérouville)...?


MERCI DE NOUS TENIR AU COURANT DE VOS INITIATIVES, afin d'éviter les doublons.





vendredi 18 décembre 2009

L'exposition



EXPOSITION du 17 décembre


au 3 rue Pierre l’Ermite 75018 Paris


Cette exposition préfigure celle que l'association voudrait

initier pour 2011 :


on y trouve la quasi-totalité des livres réalisés par Hellé,

de nombreux documents inédits, des maquettes originales,

courriers autographes, etc.

(plus de 250 livres et documents)


A la demande générale,


L'EXPOSITION SERA MAINTENUE


JUSQU'AU 16 JANVIER


Vous pouvez la visiter librement en appelant avant de passer

(01 42 57 20 24)


Attention : fermeture de la librairie entre le 23 décembre et le 1er janvier


Quelques photos (d'amateur, désolé !) :

















Scoop ! Hellé aux Arts incohérents




André Laclôtre / Hellé


"croit qu'il


doit être incohérent"


Par Corinne Taunay


Doctorante, département esthétique arts, Paris VIII


http://taunay.corinne.free.fr/




Les chiens

Reproduction au trait, in catalogue des Arts Incohérents de 1893, p.18



Les expositions des Arts Incohérents dans les années 1882 à 1893 choisissent de montrer les « dessins exécutés par des gens qui ne savent pas dessiner ». A partir de cet acte bref mais provocateur, l’écrivain Jules Lévy et sa troupe de joyeux Fumistes, littérateurs, artistes… lancent une révolution facétieuse dans le monde des arts. Une fois la mimésis congédiée, les arts plastiques enfantent des œuvres d’humour dont certaines totalement inédites annoncent l’art du XXème siècle tels que des « assemblages », des « monochromes », des « ready-made », des « ready-made aidés », des « installations », etc.


La surprise est toujours au rendez-vous de l’Incohérence. Parmi les quelques centaines d’œuvres reproduites au trait dans les livrets d’expositions, l’une m’était restée en mémoire, comme animée : Un bécot macabre. Signé « André Laclotre », auteur dont j’ignorais tout, le bécot m’amena à observer de plus près un autre dessin de cet Incohérent : Les chiens, exposé également en 1893. Cette date clôt le cycle de sept exhibitions parisiennes, parodies du Salon officiel, organisées depuis 1882 par Jules Lévy. Et les audaces du groupe avaient déjà fait beaucoup de bruit.


Dans Un bécot macabre perce l’intérêt pour l’imagerie décadente de l’époque. Les figures blanches ressortent sur un fond noir. Tout juste si le couple de la belle et du squelette, que j’imaginais dansant, n’allait pas s’animer malgré la raideur des figures. En outre, de cette étreinte infernale, macabre, entre la vie et la mort se dégageaient une poésie à la fois magique, douce et cruelle, une naïveté raffinée. Ce style Incohérent retint mon attention.


Dans Les chiens, il y a un intérêt manifeste pour les silhouettes découpées, technique dérivée des ombres chinoises qui firent florès au Théâtre d’ombres du Chat Noir. Les chiens apportent une note supplémentaire : toujours ce frémissement de vie, ce sens rythmé de la composition.

Du Bécot aux Chiens se joue une tragédie-comédie de l’amour, mais surtout il y a là deux œuvres empreintes d’une naïveté et d’une touche Incohérente singulière.



Un bécot macabre

Reproduction au trait, in catalogue des Arts Incohérents de 1893, p.63


A l’aube de l’achèvement de ma thèse (1), je réalisais une « dernière » mise à jour de mes recherches. Grâce au site « Original art » qui, en septembre 2009 mettait en vente une peinture d’André Hellé, je sus que le vrai nom de ce dernier était André Laclôtre et m’empressais de valider cette information. Par ailleurs, la notice biographique loufoque du livret d’exposition des Arts Incohérents mentionne Boissy-Saint-Léger, la ville où grandit le petit André dans le ventre de sa mère : « LACLOTRE (André) fils de son père, père de ses œuvres, croit qu'il doit être incohérent, ayant eu l'âme et le corps très fortement secoués durant les troubles cinq ou cyclonéens de la Martinique, le 18 août 1891 à Boissy Saint-Léger (Seine-et-Oise). » (2). Surprise de voir Laclôtre devenir Hellé, je me suis aussi sentie soutenue dans mon pressentiment qu’il y avait chez cet Incohérent une note tout à fait originale.


C’est le moment de saluer Michèle Cochet, initiatrice de l’exposition « La boîte à Joujoux » à la Médiathèque d’Orly (3), qui me convia à une conférence sur André Hellé menée par Béatrice Michielsen (4). Après consultation de ses pairs au sein de l’association des amis d’André Hellé, cette dernière me confirma que j’avais trouvé « le chaînon manquant Laclôtre-Hellé ». D’après ces spécialistes, aucune autre œuvre signée Laclôtre, ne serait connue jusqu’à ce jour.

D’André Laclôtre à André Hellé


A partir de quel moment Laclôtre devint Hellé ? Sans doute entre 1893 et 1896. D’après Jacques Desse (5), c’est vers 1896 que le dessinateur commença à publier dans la presse satirique des dessins signés Hellé. Et par ailleurs, nous pouvons en déduire que c’est aux Arts Incohérents que l’artiste fit ses débuts face à un public. Est-ce que l’idée de son pseudonyme lui vint aux Arts Incohérents ? Alors que les œuvres Incohérentes sont le plus souvent des « calembours-visuels », que le nom du groupe est la cible de jeu de mots par les exposants eux-mêmes, « Lézards Incohérents », « Laids Arts Incohérents », certains artistes se cachent derrière des pseudonymes calembouriens tels que « A. G. Laflaimme », « A L’ard Incohérent »… A ce jeu, « André Hellé » donnerait « André ailé », « André est laid ». Libre au sein des « Laids Arts Incohérents », fût-il, là, conforté dans l’idée que l’inspiration pouvait être délibérément ailleurs que dans une voie convenue ?


La Scène en joujoux de Nuremberg

In Je sais tout du 15 février 1910, p. 492


En 1910, dans Je sais tout du 15 février (pp. 488-496), Henri Duvernois partage avec le lecteur une expérience réalisée par le magazine, proposer le même sujet à 24 dessinateurs français et anglais : « Une enfant tient en laisse un chien qui l’entraîne au milieu d’une foule effarée ». Duvernois commente en ces termes La Scène en joujoux de Nuremberg d’Hellé : « La fantaisie de M. A. Hellé a taillé les personnages et les bêtes à la façon si savante et si simple des frustes artisans qui sculptaient les ravissantes ménageries de Nuremberg, joie des enfants. » La conférence d’Orly (6) démontrait la fascination d’Hellé pour les jouets de son enfance, dits de Nuremberg parce qu’ils venaient d’Allemagne, au point qu’ils deviendront la source de son vocabulaire plastique, les héros de ses dessins, et qu’il les fabriquera lui-même. Il réalise alors un grand écart conceptuel et esthétique comparativement à ses contemporains ; concernant la création de jouet, il devance, par exemple, l’Incohérent Caran d’Ache, son aîné dont il est un fervent admirateur.


Depuis Les chiens présentés en 1893 jusqu’aux chiens de La Scène en joujoux de Nuremberg, que de chemin parcouru : Les chiens comme Un bécot macabre sont encore loin du dépouillement stylistique des dessins signés Hellé. Cependant, il y a ce constant frémissement de vie. Désormais l’artiste « donnera vie » aux jouets de son enfance.


A regarder par la lorgnette de l’Incohérence, le chien-joujou de 1910 est précédé d’un tout petit chien dessiné librement, au premier plan à droite, dans le sens opposé d’une course folle, une petite calèche et son cocher sont croqués de manière tout aussi inventive. A y regarder de plus près encore, le monde de l’enfance, l’attitude potache, sont par excellence l’estampille des Arts Incohérents. Rien d’étonnant à ce que le jeune Laclôtre y participa. Sans doute avait-il admiré les affiches et les cartes d’entrées des expositions sur lesquelles sont dessinés des joujoux. Et, sans doute avait-il entendu parler ou vu des œuvres de Charles Colombey, de Frédéric Régamey, de Bernard Adrien Steuer, de Gustave Fraipont, qui dans sa toile Hollande (1883) avait planté des jouets d’enfants, de vrais petits moulins achetés dans quelque bazar, que l'on pouvait faire tourner en tirant la ficelle.



(1) Corinne Taunay, L’œuvre, le scandale, l’incohérence, doctorat d’arts plastiques dirigé par Pascal Bonafoux. Cette thèse, que je vais soutenir prochainement, est accompagnée en annexe d’un catalogue complet des artistes Incohérents et de leurs œuvres intitulé « Dictionnaire raisonné des artistes Incohérents accompagné d’un catalogue raisonné de leurs œuvres ». Ce travail se complète de mon Catalogue raisonné des Arts Incohérents du commissaire Dada (Master II de Lettres Modernes, Paris VIII, 2005-2006 -mention TB-) dirigé par Jacques Neefs, il y est intégré avec l’accord de ce dernier.

(2) « Laclôtre » est inscrit « Laclotre » dans le livret Incohérent de 1893, sans accent circonflexe sur le « o », pour plus de clarté nous écrirons par la suite « Laclôtre ».

(3) Exposition « André Hellé. La Boîte à joujoux » réalisée par Michèle Cochet et Béatrice Michielsen, à la Médiathèque jeunesse d’Orly, du 6 au 27 novembre 2009.

NdlR : un terrible cyclone avait ravagé la Martinique en 1891.

(4) Béatrice Michielsen, « André Hellé et le jouet », conférence donnée le 21 novembre 2009, à la Médiathèque jeunesse d’Orly.

(5) Jacques Desse, « André Hellé, illustre et inconnu »

(6) Béatrice Michielsen, conférence op. cit.


mercredi 16 décembre 2009

JOYEUX NOEL



les Amis d'André Hellé vous souhaitent

d'excellentes fêtes de Noël




"Nos Loisirs", 1910, conte de Noël : "Trains pour Bethléem" J. des Gachons, ill A. Hellé


vendredi 21 août 2009

PERIODIQUES






Liste sommaire – et certainement non exhaustive-


des périodiques auxquels a collaboré Hellé :



ABC, Magazine d'art. Publicités du Cours Sinat. Au moins n° 25, 1927.

Agenda-buvard du Bon Marché. Au moins 1906, 1907, 1910

Agenda Le Printemps. Au moins 1910

American illustré. 1907 ?

Aux écoutes (= Les Ecoutes ?). 1920-27

Bobèche. 1902 ?

Bystander (GB)

Coemedia illustré

Contes de la Petite Sans-Gêne. 1902 ?

En Famille

Fantasio. Au moins 1907-12

Fémina. 1912 ?

Froufrou. Au moins 1901 et 04

Gil Blas. Au moins 1900

Guignol.

Je sais tout. Au moins 1909-1912 (15 nov. 1911 La journée de Jaurès)

La Baïonnette. 1915-1920 ?

La Caricature. 1900-1904 ?

La Chronique amusante. 1909 ?

La Joie des enfants. Au moins 1904-1906

La Petite caricature. 1898 ?

La Revue illustrée. Au moins 1906

La Revue musicale S.I.M. S'arrête en 1914. Voir Sinfonia

La Revue Pleyel. Au moins 15 déc 1924

La Risette. Au moins 1901 ?

La Vie au grand air. Au moins 1904 et 1915

La Vie parisienne. Au moins 1909-20

La Vie pour rire. 1901 ?

L'Album comique de la famille. 1903 ?

L'Almanach des gourmands. 1930 ?

L'Assiette au beurre. 1903-05, puis 1908-10

Le Bon Vivant. Journal Humoristique de la Famille. Au moins 1900-09

Le Charivari.1909-10 ?

Le Cri de Paris. (Au moins 1903)

Le Fêtard. 1902 ?

Le Figaro illustré. Au moins 22 sept 1910

Le Jeudi de la jeunesse. (Taillandier). Début de siècle

Le Journal. (au moins 1911-12 ?)

Le Journal amusant. Au moins 1904-1914

Le Journal pour tous. Au moins 1899-1905

Le Journal rose. Magazine illustré des fillettes. Taillandier. Au moins 1913

Le Journal –Supplément illustré. Au moins 1899

Le Monde illustré. 1911 ?

Le Nouveau siècle. 1910 ?

Le Pêle-Mèle. Au moins 1900 ? -1908

Le Petit illustré amusant. Au moins 1905 ?

Le Progrès Civique. Journal de Perfectionnement Social. Au moins 1922 et 1924

Le Rire. Au moins 1901-1915 (Le Rire rouge). Puis occasionnellement (au moins 1924)

Le Soleil du dimanche. Au moins 1905-06

Le Sourire. Au moins 1902-1914, puis occasionnellement au moins jusqu'en 1930.

Le Sourire de France. Au moins 1903-1919

Le Témoin (Iribe). Au moins 1934.

Les Annales Au moins 1923 et 1928 (Publicité cours SINAT)

Les Enfants de France. Participations occasionnelles. Au moins 1928-1938.

Les Petites Images

Les Petits Bonshommes. Série BD « Place aux géants » 1922-1936 ?

Leurs Figures. (Caricature politique) Au moins 1913

L'Evénement 1916 ?

L'Impartial français

L'Indiscret (1902, jusqu'en 1909 ?)

L'Œuvre Au moins 1911 et 1916

L'Universel. 1903 ?

Miousic (au moins 1905 ?)

Miroir du monde Au moins 1932-37

Mon Beau livre

Noir et blanc. Au moins 1934

Nos caricatures. Au moins 1900

Nos Loisirs. Revue de la femme et du foyer. Au moins 1910 et 1922

Pages folles. Au moins 1912-13. Série "L'art de s'instruire" (texte et dessins H.)

Paris-Noël. Au moins 1911-12

Petit journal illustré de la jeunesse. Au moins 1905-08

Petits albums comiques pour la famille

Polichinelle Au moins 1898-99

Qui lit rit. Au moins 1905-07

Sans Gène. Au moins 1901

Scaramouche

Sinfonia. Hebdo. Concerts Padeloup (à partir 1918, au moins jusqu'en 19). Entièrement ill. par Hellé. Reprise de dessins de Sim.

The Graphic. 1913 ?

Tintin, éd. belge (un Hellé ?? 1950 ?? n° 19, n° 26)